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LA GÉNÈSE

Trois projets ont été fondateurs pour Le printemps du machiniste et ont constitué des bases qu'il n'a plus jamais quittées : l'espace public, la marionnette et le travail du corps, la musique, la collecte de parole.

DEPUIS 2012


En 2012, le collectif crée
une performance mêlant marionnette, théâtre, musique
et danse, qui interpelle le rôle
et la place du citoyen dans l’espace public. Les Écrieurs Publics proposent de manière éphémère et au cours d'un chantier ouvert à tous et toutes d’afficher sur les murs la parole d'une population sur des questions données : de quoi avez vous peur ? pourquoi grandir ? pourquoi ici plutôt qu’ailleurs ? Depuis sa création, la performance s’est jouée
dans de nombreux endroits en France et a notamment reçu
une commande publique de la Métropole de Lille ainsi que de

la mairie du 11ème arrondissement de Paris.


C’est en 2013 que Le printemps
du machiniste marque son
empreinte en montant
La Jeune Fille et la Mort
de Franz Schubert adapté pour
l’espace public et réunissant
musique, danse et marionnette. Le spectacle sera joué 37 fois
dans les plus grands festivals de
France notamment Charleville
Mézières, Châlons et Aurillac.

EN 2013

EN 2015


En 2015 le collectif obtient sa première résidence au Théâtre de la Ferme Godier (Villepinte, 93) accompagnée d’une subvention de la Drac Île de France.
 
Les artistes mettent en place
un laboratoire nommé Le
7ème Continent. Un long
travail de réflexion s’amorce
entre acteurs, musiciens et marionnettistes, autour d’un
sujet "la marionnette comme figuration de la pensée
humaine."

Lors de cette résidence, Pierre Blaise, directeur du théâtre aux Mains Nues dans le 20ème arrondissement de Paris, découvre notre travail et nous propose une résidence longue dans son théâtre pour notre prochaine création. C'est grâce à lui que naît Les Présomptions Saison 1.

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